Ce jour-là prenait fin en Europe la guerre la plus meurtrière de l’histoire de l’humanité où plus de cinquante millions de femmes et d’hommes, dont la moitié de civils, périrent.
« Parce que la mémoire est l’avenir du passé, nous avons le devoir de nous souvenir de ces 6 années douloureuses.
Il nous appartient donc aujourd’hui d’entretenir le flambeau du 8 mai et de le donner à notre tour aux futures générations pour que se cultive encore et toujours l’idée que la liberté et la paix sont des valeurs fragiles toujours susceptibles d’être remises en cause par la folie des hommes. » Pierre Simeon de Buochberg